De retour du Chemin de Traverse avec Alexandre...

* Albus ouvrit la porte de son bureau, et laissa Alexandre entrer le premier dans la pièce, refermant la porte derrière lui.*

Le bureau du professeur était éclairé par une fenêtre qui occupait la moitié supérieure du mur situé à gauche de la pièce en entrant. Des rideaux bleu clair étaient repliés de chaque côté, laissant entrer toute la lumière du jour.
Face à la fenêtre se trouvait une cheminée où des braises dans l’âtre indiquaient que le feu s’était éteint depuis peu.
Au centre de la pièce, se trouvait un vaste bureau, sur lequel reposait diverses piles de documents, livres, lettres, et cours, visiblement soigneusement classés. A portée de main de la personne assise sur la chaise haute derrière le bureau, se trouvait un encrier en argent finement ciselé contenant une magnifique plume écarlate.
A côté du bureau, près de la fenêtre, se trouvait le perchoir de Fumseck, le phénix qui dormait à cette heure, la tête sous son aile.
Derrière le bureau, un rideau, bleu ciel lui aussi, allait du sol au plafond et était fermé, isolant ainsi une partie de la pièce. Deux bibliothèques, surchargées de livres ; se trouvaient devant le rideau, contre les murs latéraux de la pièce, laissant entre elles un passage permettant d’aller dans ce qui était la chambre d’Albus.
Dans la bibliothèque de gauche, on pouvait apercevoir une Pensine dans une vitrine.

« Asseyez-vous, Alexandre » *lui dit gentiment Dumbledore en désignant de la main la chaise identique à la sienne, qui se trouvait entre la porte et son bureau, et était destinée aux visiteurs.

Puis il se dirigea vers son propre siège, rallumant le feu d’un coup de baguette magique en passant devant la cheminée pour faire le tour de son bureau.
Il s’assit, croisa les mains devant lui qu’il posa sur son bureau, et regarda l’élève en souriant.*

*il s'asseya et regarda le professeur avec un regard noir*

Vous allez regretez de m'avoir agressé sans connaitre aucun fait ! vous n'allez pas rester longtemps . . .

*Albus remarqua parfaitement le regard noir que lui lançait l’élève, et lut dans ses yeux ce qu’il pensait, mais il lui demanda très calmement :*

« Vous m’en voulez à ce point d’avoir souhaité discuter avec vous ?
Vous préféreriez peut-être que je retire arbitrairement 15 points à votre maison ?
Je voudrais que vous m’expliquiez pourquoi, passant par là, je vous ai trouvé en train de projeter un élève à 5 mètres de vous avec la volonté de lui faire mal, alors que vous l’aviez déjà assommé grâce à votre potion.
Que s’est-il passé ? »

*Il eut toujours se regard soutenus*

-Il ma menacé avec sa baguette, alors qu'on ne faisait que discuter,
j'ai du alors prendre congé de lui et ai fait apparaitre deux serpent inofencifs, pour l'occuper afin de sortir tranquillement.
je sort puis ma baguette est prise et je deteste qu'une personne autre que moi touche a ma baguette alors je lance une de mes potions paralysantes, reprens ma baguette et lui lance un sort pour rentrer tranquillement jusqu'a me prendre un sort . . .

j'aimerais bien avoir l'autre version des faits....mais pour cela, il faudrait que je trouve James...et je ne veux ni laisser cet élève seul ici, ni le renvoyer et le convoquer plus tard.... songea Dumledore.

A ce moment précis, un éclair doré qui passait devant la fenêtre à toute allure attira son attention. Il se leva juste à temps pour voir un éclair rouge et or tout aussi rapide que le premier. Il se diriea vers la baie vitrée et contempla quelques minutes l'attrapeur de Gryffondor qui s'entraînanit, sur le terrain de quidditch, situé plus loin, mais parfaitement visible depuis le bureau du professeur.

Il se tourna vers l'élève qui se trouvait dans la pièce et lui dit :
"Je préfère toujours avoir deux versions des faits...Et je vous prie de garder votre dansg-froid !"

Puis, se mettant de nouveau face à la fenêtre, il l'ouvrit dans toute sa largeur et toute sa hauteur (amplement suffisante pour laisser entrer quelqu'un, même monté sur un balai), et pointant sa baguette sur sa gorge :
SONORUS !

Puis, s'adressant à James : "Monsieur Potter, excusez-moi de vous déranger, mais pourriez-vous venir quelques minutes jusqu'ici s'il vous plaît ?"

*La voix du jeune homme parvint jusqu'au bureau du professeur avec force et résonnance*

Monsieur, avant de venir, je récupère mon vif d'or. Enfin si vous n'y voyez pas d'inconvénients bien sûr !

Dumbledore, en entendant la réponse de son élève, et comprenant très bien qu'il voulait ainsi prouver à Alexandre qu'il était le meilleur, eut un rire amusé qui retentit jusque sur le terrain, et lui répondit, décidant de rentrer dans son jeu :

"Je vous laisse une minute, mais je suis sûr que ce délai vous suffira amplement"

*James ne prit pas la peine de répondre au professeur, et fit un tour de terrain, scutant les alentours de haut en bas, tel un aigle à la recherche de sa proie. Une fois le vif repérré, il fila en piqué vers le sol, le vif d'or ayant remonté au dernier momoent, James redressa son balai avec une dextérité incroyable, amorcant maintenant une ligne droite à pleine vitesse à la poursuite du fid d'or qui se dirigeait maintenant en fandant les airs vers le but central. Maintenant à quelques mètres de celui-ci, le bras tendu pour l'attrapper, il aperçut l'anneau d'or, à peine à trois longueurs de bras. Le vif d'or passa au travers, et James plongea en prenant appuis sur son balai et sautant au travers du rond central. Au bout d'une chute de 6 mètres, il parvint à refermer son poing sur la petite noix dorée. Il agita sa baguette, et son balai revint vers lui en piqué. James l'empoigna de sa main restante, et remonta dessus. Il fonca maintenant en direction du bureau de Dumbledore.*

*Une fois près de la fenêtre, il s'y engoufra sans ralentir, et ce n'est qu'une fois dans le bureau qu'il arrêtta net son balai, puis mit le pied à terre, sna sremarquer tout de suite la présence d'alexandre*

Pourquoi vouliez vous me voir ?

*Il lui fit un sourire hypocrite*

-Ca va potter ? tu t'e remet bien a ce que je voi, fait gaffe pendant un match, il y aurat les cognard . . .

*Puis il concentra son attention sur le professeur*

Dumbledore fit un pas de côté pour laisser entrer James, et se mit à l'applaudir à tout rompre jusqu'à ce qu'il descende de son balai.
Il lui dit ensuite, très content :

"37 seconde et 19 centièmes ! Vous êtes vraiment un attrapuer extraordinaire !"

Puis, redevenant sérieux :
"J'aurai voulu avoir votre version de ce qui sest passé entre vous et ce monsieur (il désigna Alexandre, qui n'avait pas bougé) tout à l'heure...
Au fait, comment va votre tête ?"

En entendant Alexandre, Dumbledore se retourna vivement vers lui et lui jeta un regard sévère.

Puis, se tournant à nouveau vers James, il lui dit, d'un ton confiant :
"Je suis certain que vous éviterez parfaitement tous les cognards pendant les matchs, alors n'écoutez pas ses provocations, elles n'en valent pas la peine !"

Très bien. dit calmement James

*Il s'avanca vers un coin de bureau vide, et y fit appaitre une magnifique chaise en frêne sculpté, où il s'y assied*

C'est justement suite à ces provocations, que j'ai pointé ma propre baguette sur Alexandre. C'est alors qu'il a à son tour brandi sa baguette, et avec la lachetée la plus incommensurable, a fait apparaitre deux serpents qui s'enroulèrent autour de mes deux jambes. Il m'a alors dit, je cite :

Citation :

Alors potter voisi un gros dileme, soit tu me jete un sort mais tu te fait mordre et empoisoner, soit tu esseai de les enlever et je pourrai m'amuser de voir comment tu peu t'y prendre sans te faire mordre aux bras, avant qu'un atteingne ton coup, voi tu si tu te fais mordre, tu ne mourra biensur pas mais les souffrances seront si terribles . . .

Ton choix est fait je suppose, a plus tard nullard

C'est donc comme ça qu'il est partit de la boutique, me laissant face à ses deux serpents...

*James marqua une pose, le temps de reprendre son souffle et de laisser au professeur le temps de l'intérompre ou d'intervenir si il le voudrait*

Albus allait sortir sa baguette pour offrir un siège à James, mais celui-tci fut le plus rapide :
"Très belle chaise ! Et très belle magie !" commenta-t-il en allant se rassoir à son bureau.

Il écouta soigneusement son élève, tout en gardant un oeil sur Alexandre au cas où il réagisse contre le griffondor, et pour voir sa réaction en entendant les propos de son camarade.

En entendant la précision de son récit, il admira sa mémoire et un éclair de colère passa devant ses yeux en entendant la manière dont s'était comporté le serpentard avant son arrivée.

Lorsque James se tut, il ne dit rien, se contentant de lancer à james un regard l'encourageant à continuer.

*Il fit un geste de désaprobation*

-Les couleuvres noirs de nordiques ne sont pas mortelles, aucune cultures.
De toute façon je serais le coupable puisque vous protegez votre maison.

"Je cherche la vérité, et pas à protéger ma maison" lui répondit calmement Dumbledore en tourant son regard vers lui.

"Et personne n'a dit ni insinué que vous aviez cherché à tuer James, Alexandre" ajouta-t-il doucement.

Il reporta ensuite son regard sur James, et se mit à le fixer en souriant poliment attendant qu'il continue son récit....

*James, sous le regard appuyé de Dumbledore, reprit son récit.*

Donc après m'avoir débarassé de ces serpents "soit-disant" des couleuvres noires nordiques... Je suis sortit de la boutique furieux, et j'ai paerçut Alexandre à l'autre bout de la rue. Je l'ai désarmé grâce à un sort d'attraction, puis j'ai récupéré sa baguette, afin qu'il ne me lance pas un autre maléfice...

*Il s'arrêtta encore une fois, plus par politesse que par intêret, pour savoir si Alexandre ne voyait pas de mensonges à inculquer dans son résumé*

*il le ragarda dans les yeux, visage impassible*

-jusque la tout est vrai

Le Professeur Dumbledore hocha la tête, satisfait qu'Alexandre ne cherche pas à provoquer James.

Il se tourna ensuite vers celui-ci, et lui demanda, soulignant sa question d'un regard interrogatif appuyé cherchant les yeux de l'élève de sa maison :

"Que s'est-il passé ensuite ?"

*James ne se defia pas du regard du professeur Dumbledore, et le regarda fixement dans les yeus, avec un respect profond envers ce professeur*

Et bien ensuite, il s'est retourné en voyant que sa baguette lui avait échapée, et m'a lancée une potion dessus, potion qui, m'a immédiatement immobilisé. Je ne pouvais donc rien faire, pas même me défendre. Il a alors récupéré sa baguette, puis la mienne. C'est alors qu'il m'a lachement attaqué, alors que j'était désarmé et complètement immobilisé. Il a dit qu'il serait obligé de me faire mal, car l'effet de la potion se dissipera bientôt, mais je pense plutôt qu'il a agit par pure méchancetée. Car il aurait pu simplement s'en aller.... Il m'a donc lancé un maléfice qui m'a projeté à cinq mètres, me coupant litéralement le souffle. A ce moment, j'ai juste eu le temps de le voir faire léviter ma baguette, et c'est à ce moment que je suis tombé dans les pommes, et que vous êtes intervenu.

*il avait un regard amusé*

-J'aurai fait la même chose a un serpentard, ou n'importe qui d'autre, on ne touche pas ma baguette, personne n'en a le droit.

*James sourit, puis se retourna vers Alexandre, le regard noir, mais le visage amusé par la réponse du serpentard. Il haussa le ton et se leva, regardant le serp' de haut en bas, le dévisageant continuellement d'un hair hautain et supérieur.*

Alors c'est ça ton excuse Kyoshiro ? Parce quelqu'un a touché à ta pauvre petite baguette, il faut que tu t'énèrve ? Je ne savais pas que l'éducation des soit disant "sang-purs" reposait aussi fondamentalement sur les biens matériels... Je pensais mieux de toi Kyoshiro, maintenant, tu me fais pitié ! Toi ansi que toute ta famille !!!

*Cepandant James se calma un peu, et se rassied, tournant maintenant le dos à l'élève qu'il haîssait, mais son regard recroisant celui du professeur.*

*Albus, content de voir que James aprvenait à prendre sur lui et à ne pas s'énerver, sourit des yeux à James lorsque leurs regards se croisèrent pour lui exprimer son approbation.
Il se tourna ensuite vers le Serpentard :*

"Monsieur Koshiro, je comprends parfaitement que vous ayez voulu récupérer votre baguette.
Mais ne pensez-vous pas qu'assomer un de vos camarades est un peu, et même beaucoup, disproportionné par rapport au simple fait qu'il ait osé toucher votre baguette ?"

"En plus, le fait de l'avoir auparavant paralysé et désarmé montre votre courage...même s'il est vrai que vous n'êtes pas à Gryffondor, je vous pensais moins lâche..." *ne put-il s'empêcher d'ajouter après un bref instant de silence.µ

*Il replica tout de suite*

-Je lui avait laissé la chance de ne pas faire dégénérer les choses, et il est venu, je voulais qu'il me lache les bottes alors je l'ai assomé avec un sortilège un peu fort c'est vrai mais pas asser puisque monsieur est tres nerveu.
Professeur venez tester mon courage et vous verrez . . .